Dans le village de Chibok, au nord du Nigeria, l'expression «l'espoir est le dernier à mourir" ne veut rien dire. Pour plus de 200 familles il déjà perdu. Ça fait huit mois et demi, depuis que 276 élèves d'une école locale ont été enlevées par des militants du groupe extrémiste Boko Haram. Plus de 50 d’entre elles ont du échapper à ce sort terrible. Les autres sont toujours détenues, malgré les promesses du gouvernement de les libérer.

“vous venez à l’éocle pour devenir prostituées” leur a lancé le chef des kidnappeurs au moment de leur capture. Pour Boko Haram, l’éducation occidentale est interdite. Le chef des ravisseurs, un sinistre personnage du nom de Aboubakar Shekau était appru dans une vidéo pour dire aux pérents: “j’ai enlevé vos filles, je vais les vendre sur le marché, par allah”. Il a précisé que sa religión tolère l’esclavage.  «L'esclavage est autorisé dans ma religion. Je vais capturer et asservir les gens”, menaçait-il.

BBF