Face à la montée des menaces dans le cyberespace, ce pays ouest-africain a décidé de durcir son arsenal législatif contre la cybercriminalité.

Un projet de loi modificatif vient d’être adopté. Il durcit la répression des actes de plus en plus nombreux de cybercriminalité à travers les nouveaux médias sociaux, en doublant le quantum des peines présentement encourues par les auteurs de ce type d'infractions.

Les peines maximales d'emprisonnement, liées notamment à la propriété intellectuelle et à tous les autres agissements illicites au moyen des TIC passent du simple au double.