Le Burundi est à quelques pas de son retrait de la Cour Pénale Internationale. Le parlement burundais a voté le projet de loi pour sa sortie du tribunal de la Haye.

La cause ! L’État, en particulier le Premier vice-président burundais, Gaston Sindimwo accuse la CPI d'être "un moyen politique pour opprimer les pays africains". Actuellement, 12 personnalités politiques du gouvernement du Président Pierre Nkurunziza (photo) sont poursuivies par la Cour de la procureure gambienne Fatou Bensouda.

Pour ce genre de demande, le délai imparti par la convention de Vienne est de 1 an après la réception de la demande de retrait d'un pays membre.