L’armée algérienne vient de commettre un nouveau double crime contre l'humanité. Certains de ses éléments viennent de brûler vifs deux jeunes sahraouis.

Ils s’appellent Emcha Ould Hamdi Ould Sweilem et Aliyin Al Idrisi et habitait le camp dit «Dakhla» à Tindouf. Deux jeunes parmi de nombreux autres qui, faute de travail dans ces camps de séquestration, passaient leur temps à chercher d’introuvables paillettes d’or pour survivre.

Récemment, selon des sources concordantes, ils ont été surpris par des éléments de l’armée algériennes. Ces derniers les ont pourchassés en tirant des rafales de balles réelles pour les éliminer. Les deux jeunes ont tenté de fuir la mort en se cachant dans un puits asséché. Mais les militaires algériens qui étaient à leurs trousses ne leur ont laissé aucune chance. Ils ont mis le feu au puits et brûlé vifs les deux jeunes désespérés.

Ce nouveau double crime s’ajoute à d’autres et révolte encore plus les séquestrés de Tindouf. L’état d’alerte maximal a été aussitôt décrété par l’armée algérienne pour étouffer toute protestation. Surtout que la colère s’intensifie de plus en plus dans les camps de la honte. Des manifestations ont eu déjà lieu pour alerter la communauté internationale sur les crimes contre l’humanité à répétition que commet les «polisariens» et l’armée algérienne. Les manifestants continue à être réprimés dans l’indifférence quasi générale.