Kembo Mohadi, le vice-président du Zimbabwe a démissionné de son poste à la suite d'allégations "immorales" qui l'ont poursuivi ces derniers jours.

Mohadi a maintenu qu'il était innocent en remettant sa démission, tout en affirmant qu'il était victime de distorsion de l'information, de clonage de voix, d'intimidation commanditée et de sabotage politique.