Le procès virtuel de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma pour fraude et corruption présumées en relation avec un marché d’armement dans les années 1990, s’est ouvert lundi à la Haute cour de Pietermaritzburg.
Zuma doit répondre des chefs d’accusation de corruption, extorsion et blanchiment d’argent notamment sur un contrat signé en 1999, dans le cadre duquel il est accusé d’avoir reçu des pots-de-vin du géant français de l’armement Thales, alors qu’il était encore vice-président.
Zuma souhaitait un report du procès à la semaine prochaine, mais la Haute cour a déclaré qu’elle tiendrait une audience virtuelle sur les accusations, rapporte l’agence de presse africaine.