Le «Réseau Unité pour le développement» a transmis par écrit au Conseil des Droits à Genève des lettres de dénonciation des crimes commis par le Polisario contre les séquestrés de Tindouf avec la complicité des autorités algériennes.

Après plusieurs alertes lancées par d’autres organisations internationales, le «Réseau Unité pour le développement» met, de nouveau, l’ONU et la communauté internationale face à ses responsabilités. S’adressant au Conseil des droits de l’Homme à Genève, l’ONG souligne que dans les camps de la honte, des militants sont jetés en prison sans procès, des violences sont commises au quotidien, des enfants sont militarisés,...

Dans ses lettres soumises au Conseil des droits de l’Homme et envoyées également à l'Assemblée Générale de l'ONU, le président de l'ONG, Mohamed Vall Barka, transmet aux plus hautes instances onusiennes les appels au secours lancés par les séquestrés de Tindouf.

Ces dernier, écrit-il, réclament leurs droits les plus élémentaires à la liberté d’expression et à la fin de la répression qui les frappent au quotidien de la part des miliciens du Polisario au su et au vu des autorités algériennes.

Vall Barka souligne que la solution existe et elle a été proposée par le Maroc à travers le plan d’autonomie déjà soumis à l’ONU qui l’a salué.

Entretenir le statuquo, prévient le «Réseau Unité pour le développement», c’est condamner les séquestrés de Tindouf à continuer à vivre leur clavaire, c’est rester les bras croisés alors que des enfants sont embrigadés au sein de milices militarisées, c’est fermer les yeux sur le piétinement des droits humains les plus élémentaires. L’ONG internationale insiste : Il faut agir et vite !

Lettres du «Réseau Unité pour le développement» : 1 - 2 - 3