Conversion professionnelle majeure pour l’artiste franco-ivoirienne. Toujours sous les feux des projecteurs, c’est à la présentation de l’actualité et aux interviews de stars qu’elle se consacre à présent.

Amoureuse du son mais également passionnée de journalisme, la franco-ivoirienne a endossé une nouvelle casquette qui lui va plutôt bien. Evoluant dans les médias avec beaucoup d’aisance, l’ancienne artiste se retrouve aujourd’hui à interviewer d’anciens admirateurs.

Celle qui a fait danser toute l’Afrique de l’Ouest avec ses tubes (« on va gâter le coin », « en secret », « Faut couper, faut décaler » ) en a surpris plus d’un par ce choix. Décision inopinée ? Du tout ! Alors qu’elle préparait son premier album, il y a 17 ans de cela, Teeyah avait passé à Paris un concours d’entrée dans une école de journalisme où elle a été admise.

Fascinée par cet univers, elle suivait ses cours assidument jusqu’à l’obtention de son diplôme et travaillait la nuit sur ses compositions. Lorsqu’il a fallu choisir entre les deux voies, elle s’est orientée vers la musique où l’attendait le succès que l’on connaît. 

Son caractère multitask, l’a finalement ramenée sur les rives de son second dada et le public n’a pas été déçu. Curieuse, ayant le sens du contact et une bonne répartie, Teeyah a montré qu’elle avait plusieurs cordes à son art au sein de la Nouvelle Chaine Ivoirienne.