Le Togo, le Bénin et le Burkina Faso viennent de lancer la seconde phase du Programme d’appui à la prévention des conflits et de l’extrémisme violent dans les zones frontalières. 

Une nouvelle étape de leur engagement à faire face aux conflits communautaires.

Les trois pays vont donc à travers ce projet, s’attaquer aux facteurs de la fragilité dans les zones frontalières et améliorer leur résilience face aux chocs induits par la situation d’insécurité.

Ce projet lancé en 2020, pour le compte de la première phase, bénéficie de l’appui financier et technique du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).

Au Togo, sa mise en œuvre sera axée sur le renforcement des mécanismes endogènes de prévention et la réponse aux conflits communautaires aux niveaux local et transfrontalier.

L’objectif est de prendre en compte le renforcement de la résilience socio-économique des femmes et des jeunes dans la zone frontalière avec la participation du Bureau Togo de l’Organisation internationales pour les migrations (OIM).