A la veille de la tenue à Bruxelles du Sommet UE-UA, certaines parties tentent par tous les moyens de vider de son sens cet évènement. ONG, députés et institutionnels africains et européens ne laissent pas faire.
Remarquant qu’un document non officiel désignant les délégations du parlement panafricain en relation avec les différents Parlements du monde figure sur le site du parlement européen, le président sortant du Parlement Panafricain (PAP), le Camerounais Roger Nkodo Dang a aussitôt saisi par écrit la présidente de la délégation pour les relations avec le parlement panafricain, Maria Soraya Rodriguez Ramos.
Roger Nkodo Dang dénonce dans sa lettre cette publication. «En ma qualité de dernier président élu du parlement panafricain et après consultations des résolutions et décisions de ce parlement, un tel document n’a jamais fait l’objet de discussions ou des résolutions dans notre auguste Chambre», proteste-t-il. Et d’ajouter : «Nous mettons en doute la sincérité de ce document et nous demandons qu’il soit retiré du site du parlement européen».
Roger Nkodo Dang réclame des excuses de la part des auteurs de ce «manquement grave». Il rappelle que le parlement panafricain entretient d’excellentes relations avec le parlement européen et en donne pour preuves la déclaration conjointe des deux parlements lors du sommet Union Africaine-Union Européenne, tenu à Abidjan (Côte d’Ivoire) en 2017. «Ladite déclaration stipulait entre autre que les deux parlements devaient traiter les questions d’intérêt commun entre les deux continents», fait-il savoir.
Par sa lettre, l’ancien président du parlement panafricain révèle que certains responsables européens sont complices du régime algérien dans sa tentative de saboter le Sommet UA-UE.
Le Roi Mohammed VI a suivi toutes les phases de l’opération de sauvetage du petit Rayan, affirment à Pouvoirs d’Afrique des sources concordantes. Le Souverain a aussi donné ses hautes instructions pour que toutes les mesures soient prises et tous les moyens nécessaires soient mobilisés pour que cet enfant, de 5 ans, qui était coincé, depuis mardi dernier, au fond d’un puits asséché de 35 mètres de profondeur soit secouru.
Malgré le travail acharné mené par des équipes spécialisées, la nature rocailleuse des parois dudit puits a rendu impossible son sauvetage.
Dès la confirmation du décès du petit Rayan, le Roi Mohammed VI a appelé ses parents, M. Khaled Aourram et Mme Ouassima Kharchich. Le message du Souverain dénote de son grand humanisme.
En cette douloureuse circonstance, le Roi Mohammed VI a exprimé «ses plus vives condoléances et sa sincère compassion à l’ensemble des membres de la famille du défunt en cette douloureuse épreuve, la volonté divine étant imparable, implorant le Tout-Puissant de l’accueillir en Sa sainte miséricorde et dans Son vaste paradis, et d’accorder patience et réconfort à sa famille qui a perdu son enfant.», peut-on lire dans le communiqué du Cabinet Royal.
Le Souverain a exprimé également, selon la même source, sa considération pour les efforts inlassables consentis par les différentes autorités, forces publiques, et acteurs associatifs, ainsi que pour l’élan de solidarité et la large sympathie exprimés à l’égard de la famille du défunt par les différentes catégories et familles marocaines, dans cette douloureuse circonstance.
Dans son émission d’investigation «Haute définition», i24News reconfirme, témoignages et documents exclusifs à l’appui, la vraie nature du Polisario : une organisation terroriste qui se nourrit de crimes organisés.
De l’histoire de la naissance du Polisario à la menace d’une nouvelle guerre des sables qu’il pourrait provoquer sur instigation du pouvoir algérien, des relations entre cette organisation terroriste avec ses homologues iraniennes ou pro-iraniennes à ses attentats notamment contre des pêcheurs espagnols, des témoignages inédits recueillis depuis les sphères du renseignement en Espagne et qui sont accablants pour les dirigeants du Polisario aux révélations d’une victime de viol perpétré par Brahim Ghali, i24News révèle au monde ce que le Maroc ne cesse de dénoncer depuis longtemps…
Le Roi Mohammed VI préside la cérémonie de lancement des travaux de réalisation à Benslimane d’une usine de fabrication de vaccins anti Covid-19 et autres vaccins.
Le Souverain a présidé, jeudi 27 janvier à la province de Benslimane (Région de Casablanca-Settat), la cérémonie de lancement des travaux de réalisation d’une usine de fabrication de vaccins anti Covid-19 et autres vaccins, un projet structurant qui, à terme, contribuera à assurer la souveraineté vaccinale du Royaume et du Continent africain dans son ensemble.
Cette unité industrielle s’inscrit dans le cadre de la Vision Royale visant à positionner le Royaume en tant que hub biotechnologique incontournable en Afrique et dans le monde, capable d’assurer les besoins sanitaires du Continent à court et à long terme, en y intégrant la recherche pharmaceutique, le développement clinique, la fabrication et la commercialisation de produits biopharmaceutiques de grande nécessité. Elle doit mobiliser à terme un investissement d’environ 400 à 500 millions d’euros.
Le projet de Benslimane consiste en la mise en place d’une usine de fabrication et de mise en seringue de vaccins (anti-Covid et autres vaccins), disposant de 3 lignes industrielles dont la capacité combinée de production atteindra 116 millions d’unités en 2024. Ces lignes seront dédiées à la production de seringues pré-remplies, de flacons de liquides et de flacons lyophilisés. L’investissement projeté est d’environ 200 millions d’euros, et le lancement de la production des lots d’essais est prévu le 30 juillet 2022.
Fruit d’un partenariat public-privé, notamment l’accompagnement d’un des leaders mondiaux de la biotechnologie et de l’industrie du « Fill & Finish », la société suédoise Recipharm, ce projet permettra d’assurer l’autosuffisance du Royaume en matière de vaccins et de faire du pays une plateforme de biotechnologie de premier plan à l’échelle du Continent africain et du monde dans le domaine de l’industrie du « fill & finish ».
Baptisée « SENSYO Pharmatech », l’unité industrielle, la plus grande plateforme par capacité de Fill & Finish de vaccins en Afrique, sera à terme amenée à devenir l’une des 5 premières au monde. Ce projet d’envergure vise, à moyen terme (2022-2025), le transfert du remplissage aseptique et de la fabrication de substance active de plus de 20 vaccins et produits bio-thérapeutiques, incluant 3 vaccins anti Covid-19, en moins de 3 ans au Maroc, couvrant plus de 70% des besoins du Royaume et plus de 60% de ceux du Continent.
Il est prévu dans ce cadre le transfert vers le Maroc de plateformes biotechnologiques avancées, incluant la recherche clinique, le développement et la production de thérapies cellulaires et géniques, cellules souches, et de technologies de pointe de diagnostic in vitro.
Le projet ambitionne, à long terme (2023-2030), la création d’un Pôle africain d’innovation biopharmaceutique et vaccinale au Maroc reconnu mondialement.
Cela se fera dans le cadre d’un partenariat entre des acteurs majeurs internationaux dans les domaines de recherche et de développement de technologies de pointe dans les vaccins et produits bio-thérapeutiques et toutes les institutions marocaines de tutelle, notamment le Ministère de l’Enseignement Supérieur, celui de la Santé, le Ministère de l’Intérieur, celui de l’Industrie et celui des Finances.
Un transfert de savoir-faire massif et en continu est prévu à ce titre pour positionner le Royaume dans les 5 années à venir en tant que locomotive du Continent en recherche, développement et production de produits biopharmaceutiques de pointe.
A noter qu’aujourd’hui, et grâce à la mobilisation des lignes de remplissage aseptiques disponibles localement au Maroc ainsi qu’au transfert du remplissage de flacons en salle blanche du vaccin anti Covid-19 de Sinopharm vers le Maroc, le Royaume produit plus de 3 millions de doses localement par mois.
La capacité de production augmentera à environ 5 millions de doses à partir du mois de février 2022 et à plus de 20 millions de doses par mois à fin 2022. A partir de 2025, le Maroc sera en capacité de produire plus de 2 milliards de doses de vaccins.
A cette occasion, le Roi Mohammed VI a présidé la cérémonie de signature de la convention d’investissement pour la réalisation de l’unité de fabrication de vaccins anti Covid-19 et d’autres vaccins, à Benslimane.
Elle a été signée par Mme Nadia Fettah Alaoui, ministre de l’Economie et des Finances, M. Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau, M. Khalid Ait Taleb, ministre de la Santé et de la Protection sociale, M. Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, et M. Mohcine Jazouli, ministre délégué chargé de l’investissement, de la convergence et de l’évaluation des politiques publiques.
Elle a également été signée par M. Othman Benjelloun, président de la société « Sensyo Pharmatech », M. Said Ahmidouch, wali de la région de Casablanca-Settat, M. Samir Lyazidi, gouverneur de la province de Benslimane, M. Taoufiq Moucharraf, secrétaire général du ministère de l’Industrie et du Commerce, et M. Abdellah Kabiri, Directeur du pôle industrie à l’Office national de l’électricité et de l’eau potable.
Avec le lancement de ce projet, le Maroc, sous la conduite éclairée du Roi Mohammed VI, effectue un pas supplémentaire sur la voie de la gestion efficace et proactive de la crise pandémique et ses suites.
La justice française a ouvert, mercredi 26 janvier, l’examen de la plainte du Maroc dans un procès en diffamation contre des ONG et des médias français qui ont accusé le Royaume de les avoir espionné, via le logiciel “Pegasus”. Voici pourquoi la recevabilité de cette plainte est incontestable dans cette affaire.
Dans son réquisitoire, la procureure a d’emblée plaidé l’irrecevabilité, arguant que les États n’ont pas la qualité d’intenter des procès en diffamation au nom de la fameuse loi française de 1881 sur la liberté de la presse.
Sauf que dans cette affaire, où les officines obscures du politique et une certaine presse se sont liguées contre le Maroc dans une vile tentative d’intimidation, les choses sont différentes.
Le Maroc a joué, depuis le début, la carte de la transparence, démentant catégoriquement les allégations mensongères d’Amnesty international et du Consortium Forbidden Stories. Preuves à l’appui, le Royaume n’a pas hésité à mener une contre-expertise scientifique de haute précision qui a démontré le caractère mensonger de ces allégations.
Il s’en est suivie une demande de citation à comparaitre des médias français impliqués et de ceux d’autres pays pour diffamation devant leurs juridictions respectives non pas dans une sorte de “procédure bâillon” à leur égard ou pour porter atteinte à la sacro-sainte liberté d’expression que le Royaume protège tout comme le font les pays démocratiques, mais pour défendre ses droits et sa réputation ainsi que celles de ses administrations sécuritaires qui agissent dans le cadre de l’État de droit.
Et puisque les États sont des personnes morales de droit public, ils doivent être en mesure de défendre leur réputation devant la justice.
A travers ce procès en diffamation, le Maroc ne mène pas une opération de “com”. Il n’en a pas besoin. Il use tout simplement de son droit de réclamer réparation des préjudices et des torts subis, car les accusations sont graves et portent atteinte à son image, à son honneur et à sa réputation.
Pour l’avocat du Royaume, Me Olivier Baratelli, les médias français, qui font objet de la plainte “ne veulent surtout pas que l’on aborde le fonds du dossier, car aujourd’hui l’enquête menée en France a révélé que ce qu’ils ont avancé était faux et que le Maroc n’a jamais utilisé le logiciel Pegasus”.
“On utilise donc des artifices de procédure, des moyens d’irrecevabilité, de prétendues nullités : Tout ce qu’il faut pour faire un écran de fumée afin d’éviter le débat de fond”, a déclaré l’avocat français au site d’information “Altasinfo.fr”.
La recevabilité de la plainte est dès lors incontestable dans cette affaire, d’autant plus qu’il est grand temps que les États et les structures qui y relèvent, qui ne peuvent se soustraire à leur qualité juridique de sujets de droit, puissent accéder équitablement à la justice pour se défendre des atteintes diffamatoires et se protéger contre des facéties présentées par des médias irresponsables comme des vérités absolues.
Adil Zaari Jabiri – MAP
M. Said Bin Mohammad Bin Ali Al Buru’umi, Ambassadeur du Sultanat d’Oman,
M. Krzysztof Karwowski, Ambassadeur de la République de Pologne,
Mme Oksana Vasylieva Yuriivna, Ambassadeur de l’Ukraine,
Mme Dang Thi Thu Ha, Ambassadeur de la République Socialiste du Vietnam,
M. Al Asri Saeed Ahmed Aldhaheri, Ambassadeur de l’Etat des Emirats Arabes Unis,
M. Rafael Puelma Claro, Ambassadeur de la République du Chili,
M. Simon Martin CMG, Ambassadeur du Royaume-Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord,
M. Michael Graeme Bruce Cutts, Ambassadeur d’Australie,
M. Mohamed Hanani, Ambassadeur de la République Islamique de Mauritanie,
M. Jeroen Roodenburg, Ambassadeur du Royaume des Pays-Bas,
Mme Zaina Nyiramatama, Ambassadeur de la République du Rwanda,
M. Ebrahim Edries, Ambassadeur de la République d’Afrique du Sud,
M. Armando Barucco, Ambassadeur de la République d’Italie,
M. Erick Estuardo Escobedo Ayala, Ambassadeur de la République du Guatemala,
Mme Maria Ciobanu, Ambassadeur de la Roumanie,
M. Albashir Ibrahim Saleh Alhussaini, Ambassadeur de la République Fédérale du Nigeria,
M. Li Changlin, Ambassadeur de la République Populaire de Chine,
M. Rajesh Vaishnaw, Ambassadeur de la République de l’Inde,
M. Atumanni Dainkeh, Ambassadeur de la République de Sierra Leone,
Mme Saulekul Sailaukyzy, Ambassadeur de la République du Kazakhstan,
M. Nestor Bankumukunzi, Ambassadeur de la République du Burundi,
M. Leslie J. Baja, Ambassadeur de la République des Philippines,
M. Plamen Stoyanov Tzolov, Ambassadeur de la République de Bulgarie,
M. Amaury Justo Duarte, Ambassadeur de la République Dominicaine,
M. Nontawat Chandrtri, Ambassadeur du Royaume de Thaïlande,
M. Keeyong Chung, Ambassadeur de la République de Corée,
M. Ivan Bauer, Ambassadeur de la République de Serbie,
Mme Filomena Mendes Mascarenhas Tipote, Ambassadeur de la République de Guinée-Bissau,
M. Ladislav Skerik, Ambassadeur de la République Tchèque,
Mme Seynabou Dial, Ambassadeur de la République du Sénégal,
M. Sjur Larsen, Ambassadeur du Royaume de Norvège,
Mme Véronique Petit, Ambassadeur du Royaume de Belgique,
M. Mohammed Shahdat Hossain, Ambassadeur de la République populaire du Bangladesh,
M. Samuel Jojo Effah-Broni, Ambassadeur de la République du Ghana,
M. Ignacio De Cossio Perez De Mendoza, Ambassadeur de la République du Salvador,
M. James Mcintyre, Ambassadeur d’Irlande,
Mme Jumana Suleiman Ali Ghunaimat, Ambassadeur du Royaume Hachémite de Jordanie,
Mme. Patricia Pilar Llombart Cussac, Ambassadeur, Cheffe de la Délégation de la Commission européenne,
M. Yasser Mostapha Kamal Othman, Ambassadeur de la République Arabe d’Égypte.
Cette audience s’est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita.
Le Roi Mohammed VI condamne vigoureusement l’attaque ignoble perpétrée contre les Emirats arabe unis
Au cours de cet entretien, Sa Majesté le Roi a condamné vigoureusement cet acte abject, qui a ciblé des innocents et des installations civiles.
Le Souverain a présenté, à cette occasion, Ses sincères condoléances aux Autorités et au Peuple émiratis pour les pertes humaines, et Ses souhaits de prompt rétablissement aux blessés.
Sa Majesté le Roi a réitéré l’appui ferme du Royaume du Maroc à toutes les mesures prises par les Emirats Arabes Unis pour défendre leur territoire et la quiétude de leur population face aux attaques ignobles de la milice houthie et ses soutiens.
Dans le cadre de la tradition de solidarité constante et agissante entre les deux pays frères, Sa Majesté le Roi Mohammed VI – Que Dieu Le Préserve – a assuré Son Altesse Cheikh Mohamed Ben Zayed Al Nahyane que le Royaume se tiendra toujours aux côtés des Emirats Arabes Unis et apportera toutes les formes de soutien à ce pays frère pour la défense de sa sécurité nationale et la protection de ses citoyens ».
Le Roi Mohammed VI a reçu, jeudi 11 novembre 2021 au Palais Royal de Bouznika, le Président de la République gabonaise. Ali Bongo Ondimba effectue une visite au Maroc.
Cette rencontre traduit le caractère exemplaire du partenariat maroco-gabonais, ainsi que les relations d’amitié qu’entretiennent les peuples des deux pays frères.
« Très heureux, et ému, de retrouver à Rabat mon frère, Sa Majesté le Roi Mohammed VI », a affirmé le Président gaboinais sur tweeter après sa rencontre avec le Souverain. Et Ali Bongo Ondimba d’ajouter : « Notre entretien a été à la fois extrêmement chaleureux et dense. Nous avons abordé les questions de coopération bilatérale, les dossiers internationaux, ainsi que des sujets plus personnels. »
Le porte-parole adjoint du SG de l’ONU, Farhan Haq a indiqué, ce vendredi 5 novembre, que les camions algériens, que les autorités à Alger allèguent qu’ils ont été “attaqués” par le Maroc, se trouvaient dans la partie Est du Sahara. C’est clair que cette action a été menée sur instigation des autorités algéériennes.
Selon « les résultats préliminaires » de l’enquête menée par la MINURSO, les camions “se trouvaient dans la partie Est du Sahara occidental, près de Bir Lahlou”, a précisé le porte-parole lors de son briefing quotidien, ajoutant que la mission onusienne a constaté deux camions immatriculés en Algérie garés l’un à côté de l’autre.
Les deux véhicules étaient “gravement endommagés et carbonisés”, a-t-il dit en réponse à une question d’un journaliste.
M. Haq a également relevé que la MINURSO a dépêché des patrouilles initiales le 3 novembre sur les lieux de l’“incident présumé », survenu la veille.
A une question du même journaliste sur les raisons derrière la présence de ces camions dans une zone d’opérations militaires alors qu’il y a une autre voie, le porte-parole a dit « ignorer pourquoi les deux camions sont dans cet endroit », en indiquant que le sujet fait l’objet d’une enquête.
Activement recherché par la France, le terroriste Iyag Ag Ghali a rencontré, hier mercredi 3 novembre pendant quatre heures, le directeur général adjoint des services de renseignement algérien près de Tin Zouaten (wilaya de Tamanrasset), non loin de la frontière malienne. Des plans dangereusement machiavéliques ont été ourdis à cette occasion.
Le chef du mouvement terroriste dit Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans (GSIM), Iyag Ag Ghali était hier à Tin Zouaten en Algérie où il s’est longuement entretenu avec le directeur général adjoint des services de renseignement algérien.
Selon des sources bien informées, ces entretiens ont été axés sur le renforcement de l’occupation de tout le nord du Mali par le GSIM. Ce renforcement passerait donc par la multiplication des bains de sang terroristes. Et, selon nos sources, c’est l’Algérie qui va fournir les moyens financiers et matériels nécessaires pour ces projets macabres, avec tout l’appui militaire nécessaire.
Le principal objectif recherché par Alger est de voir le GSIM prendre le contrôle de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA).
Les généraux algériens veulent ainsi peser dans les décisions de cette coordination regroupant de nombreux groupuscules rebelles maliens pour tenter ensuite de tirer les ficelles des actes déstabilisateurs pouvant être menés au Sahel.