Alors que les résultats du baccalauréat tombent les uns après les autres à travers le continent africain, de nombreux·ses jeunes Camerounais·es, Béninois·es, Togolais·es ou Gabonais·es se posent la même question : quelle voie suivre ? Pouvoirs d’Afrique vous propose une bonne piste.

Nombre de bachelier·ère·s voient grand pour poursuivre leurs études supérieures — et ils·elles ont raison. Pourtant, plusieurs destinations privilégiées, comme le Canada, le Royaume-Uni ou encore les États-Unis, durcissent leurs politiques d’accueil. La France, elle, continue de maintenir une stratégie ouverte envers les étudiant·e·s internationaux·ales. Pour les jeunes Africain·e·s en quête d’excellence académique et d’un encadrement rigoureux, c’est une option rassurante, accessible et stratégique.

Le groupe Omnes Education, acteur reconnu de l’enseignement supérieur français, l’a bien compris. Il propose aux étudiant·e·s africain·e·s un accompagnement global : orientation, démarches Campus France, visa, logement, intégration… tout est pensé pour simplifier la mobilité et sécuriser le parcours.

Avec ses écoles réparties dans plusieurs grandes villes françaises, Omnes Education couvre un large éventail de formations : l’ECE Paris pour les métiers du numérique, l’INSEEC et l’ESCE pour le commerce, HEIP pour les sciences politiques, ou encore Sup de Pub pour la communication. Autant d’enseignements orientés vers l’international, en phase avec les besoins du marché et les aspirations d’une jeunesse connectée, ambitieuse et mobile.

Les filières du numérique attirent particulièrement les étudiant·e·s togolais·es et gabonais·es, très engagé·e·s dans la dynamique technologique de leurs pays. Intelligence artificielle, cybersécurité, data science… ces secteurs en forte croissance peinent à recruter, en Europe comme en Afrique. L’ECE, avec ses laboratoires d’innovation (IA Lab, Fab Lab), ses liens étroits avec les entreprises et son approche par projet, offre un cadre de formation de haut niveau. Pour ces jeunes passionné·e·s de tech, c’est une opportunité unique de se former dans un écosystème exigeant, avec la perspective de revenir enrichi·e·s de compétences stratégiques.

Mais au-delà de la technologie, c’est toute une génération d’étudiant·e·s africain·e·s qui aspire à une formation solide, dans un cadre stable, humain et professionnalisant. C’est ce que recherchent aussi les Béninois·es, nombreux·ses à préparer leur mobilité avec rigueur.

Grâce à un suivi personnalisé et à des services concrets (logements réservés, aides à l’installation, rentrées décalées en janvier et septembre), les écoles du groupe Omnes rendent ce projet réalisable, même pour les bachelier·ère·s qui s’y prennent tard.

Dans un monde en recomposition, où la mobilité internationale devient plus sélective, étudier en France s’impose comme un choix de raison et d’avenir. Pour les jeunes Camerounais·es, Gabonais·es, Togolais·es ou Béninois·es — comme pour bien d’autres étudiant·e·s du continent — il ne s’agit plus seulement de quitter leur pays pour apprendre ailleurs, mais bien de se préparer à revenir plus fort·e·s, plus compétent·e·s, et mieux armé·e·s pour relever les défis de demain. La porte est ouverte. Reste à la franchir.